Votre grenier déborde de robes démodées, de jouets délaissés par vos enfants, d’une collection de BD pleine de poussière… Cela tombe bien ! La semaine prochaine, il y a une brocante dans votre rue. C’est l’occasion de faire place nette.



Avant de vous transformer en brocanteur d’un jour, vous devez vous inscrire dans le registre de l’organisateur de la brocante. Vous devez ensuite payer le prix de votre réservation qui dépend généralement de la longueur de votre emplacement. 

Des objets d’occasion

Vous devez vendre des objets d’occasion, c’est-à-dire des objets personnels ayant déjà servi. Vous ne pouvez pas proposer à la vente des objets que vous avez achetés ou fabriqués dans l’intention de les vendre.

Pas de limite

Aucun décret ne limite mathématiquement la participation aux brocantes. Il faut cependant rester raisonnable. Les dressings et les garages ne sont pas inépuisables. L’activité doit rester occasionnelle et ne pas excéder cinq à six brocantes par an.

Vos recettes ne sont pas limitées. Vous pouvez vendre au prix que vous voulez. Bien sûr, vos prix doivent rencontrer la demande des flâneurs qui sont tous de potentiels acheteurs... Et la négociation fait évidemment partie intégrante du folklore des brocantes. Si vous respectez ces quelques conditions, vous ne devrez pas payer de TVA ni être taxés sur les gains obtenus.

 

Publié le 2 août 2019

 

 

 

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