Arborescence
Avant d’aller plus loin
Depuis le 1er octobre 2022, la procédure de trajet de réintégration a été modifiée. Les nouvelles règles s'appliquent aux :
- procédures de trajet de réintégration en cours ;
- nouvelles procédure de trajet de réintégration.
Depuis le 28 novembre 2022, la rupture du contrat de travail pour force majeure médicale ne se fait plus via le trajet de réintégration.
Le médecin du travail invite le travailleur à un examen médical, pour faire l'évaluation de réintégration.
Le médecin du travail examine si :
- l'incapacité est temporaire ou définitive ;
- le travailleur est capable de travailler :
- à un autre travail dans la même entreprise ;
ou - au même travail mais en l'adaptant (horaires, temps de travail, tâches, etc.).
- à un autre travail dans la même entreprise ;
Il détermine les conditions auxquelles doivent répondre le travail et le poste de travail du travailleur pour qu'il puisse reprendre un travail adapté à son état de santé.
Le médecin du travail peut examiner le poste de travail du travailleur afin de voir s'il faut l'adapter. Cet examen peut être fait par d'autres conseillers en prévention.
Si le travailleur est d'accord, le médecin du travail en discute avec :
- le médecin traitant du travailleur ou le médecin qui a fait le certificat médical ;
- le médecin-conseil de la mutuelle ;
- d’autres conseillers en prévention ;
- les personnes qui peuvent aider à réussir la réintégration ;
- l'employeur si le travailleur le demande.
Le médecin du travail a 49 jours calendrier à partir du lendemain de la demande de réintégration pour prendre sa décision.
Pour plus d’informations voyez :
- notre fiche “Quelles décisions peut prendre le médecin du travail après l’évaluation de réintégration ?” ;
- le site du SPF Emploi, Travail et Concertation sociale ;
- notre schéma explicatif dans les documents types de cette fiche.
Pour plus d’informations vous pouvez consulter :
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