Vous pouvez choisir de retourner dans votre pays d’origine à tout moment, que vous soyez demandeur de protection internationale ou non. Par exemple :

  • pendant votre procédure de protection internationale ;
  • lorsque vous recevez une décision négative du Commissariat général aux réfugiés et aux apatrides (CGRA).

Dès le début de la demande de protection internationale, Fedasil donne des informations sur la possibilité d'un retour au pays.

Dès la première décision négative du CGRA, Fedasil vous propose un retour volontaire dans les 5 jours.
Vous pouvez choisir entre :

  • introduire un recours au Conseil du contentieux des étrangers (CCE) si vous voulez rester en Belgique ;
  • ou signer un engagement de retour volontaire avec Fedasil.

Si votre demande de protection internationale est refusée et définitivement clôturée, vous recevez un ordre de quitter le territoire (OQT) à exécuter dans un certain délai.
Vous êtes invité à rejoindre une place retour dans un centre d'accueil "retour" (sauf certains cas d’exception) dans les 3 jours de la notification de la décision négative du CCE.

Vous avez droit à l'aide matérielle dans ce centre, jusqu'à la date de votre retour dans le pays d'origine.

Si vous refusez de vous rendre dans un centre d'accueil "retour", le délai de votre OQT peut être écourté.

L'Office des étrangers peut mettre en place un retour forcé. Le retour forcé est une expulsion forcée dans votre pays d’origine.

Pour plus d’informations vous pouvez consulter :

Le contenu ci-dessus est réservé aux abonnés de Droits Quotidiens.

Pour le visualiser :

Pas encore abonné ?

Renseignez-vous sur les abonnements disponibles.

Découvrir les services

Attribution - Pas d'Utilisation Commerciale - Pas de Modification 4.0 International (CC BY-NC-ND 4.0) Pour en savoir plus sur les Creative commons cliquez sur l’image

Ce contenu pourrait également vous plaire