Certaines associations, comme les refuges ou les maisons d’accueil, pourront, dans un premier temps, vous apporter une aide matérielle et vous aider à acquérir ou récupérer votre autonomie financière.

  • Si votre revenu (salaire, allocations, mutuelle, etc.) est versé sur un compte commun avec votre ex-partenaire, ouvrez un compte à votre nom et prévenez vos débiteurs de revenus. 
  • Si vous êtes sans revenu, adressez-vous au CPAS de votre lieu de résidence.

Pour la suite, les possibilités sont différentes selon votre situation.

1) Si vous étiez marié(e), vous pouvez demander lors de la procédure de divorce l’octroi d’une pension alimentaire.

  • Si vous êtes tous les 2 d’accord, vous pouvez le prévoir dans une convention. N’oubliez pas de la faire homologuer ensuite auprès du juge de la famille.
  • Si vous n’êtes pas d’accord, vous devez le demander au du juge de la famille. Cette demande peut être faite dans le cadre d'une procédure de séparation (demande de "mesures urgentes et provisoires") ou dans le cadre d'une procédure de divorce.

2) Si vous n’étiez pas marié(e), il n’existe pas d’obligation de secours entre les cohabitants légaux et les concubins. Vous ne pouvez par compter sur l'aide de votre ex partenaire. N’oubliez pas de prévenir les organismes de paiement de votre départ et de votre changement de situation (mutualité, ONEM, caisse d’allocations familiales, etc.). 

 

Pour plus d’informations vous pouvez consulter :

Le contenu ci-dessus est réservé aux abonnés de Droits Quotidiens.

Pour le visualiser :

Pas encore abonné ?

Renseignez-vous sur les abonnements disponibles.

Découvrir les services

Attribution - Pas d'Utilisation Commerciale - Pas de Modification 4.0 International (CC BY-NC-ND 4.0) Pour en savoir plus sur les Creative commons cliquez sur l’image

Ce contenu pourrait également vous plaire