Il est impossible de répondre de manière automatique.

Tout dépend des circonstances concrètes de la situation et du contexte des échecs scolaires.

En principe, les études doivent être menées normalement, sans retard particulier imputable à l’enfant. Il a accepté qu’un jeune ait rencontré quelques difficultés de parcours. Par exemple, le jeune s'est " trompé" dans son choix d’études et il se réoriente après une première année d’études.

En cas de conflit, vous pouvez vous adresser au juge de la famille. Il décide si le parent doit toujours payer ou non la contribution alimentaire en fonction des circonstances concrètes de la situation.

Le juge de la famille contrôle les capacités du jeune, sa bonne volonté, son zèle aux études et les raisons du retard pris dans ses études.

Par exemple, des difficultés familiales ou matérielles peuvent justifier un redoublement.

 

Pour plus d’informations vous pouvez consulter :

Le contenu ci-dessus est réservé aux abonnés de Droits Quotidiens.

Pour le visualiser :

Pas encore abonné ?

Renseignez-vous sur les abonnements disponibles.

Découvrir les services

Attribution - Pas d'Utilisation Commerciale - Pas de Modification 4.0 International (CC BY-NC-ND 4.0) Pour en savoir plus sur les Creative commons cliquez sur l’image

Ce contenu pourrait également vous plaire