De son vivant, chacun est libre de faire ce qu’il veut de ses biens et de son argent.

Soutenir une association, donner un coup de pouce à un enfant ou petit enfant, faire

plaisir à un filleul… : autant d’actes qui peuvent être posés librement.

Sont-ils pourautant sans conséquences au moment de l’ouverture de la succession ?

Pour en savoir plus, lisez l'article rédigé en langage juridique clair par notre juriste Marie Lieffrig dans le dernier numéro du magazine En Marche.

 

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